Le risque suicidaire

Le risque suicidaire compère à une fragilité psychique. Anxiété, tristesse, fatigue, irritabilité, trouble du sommeil, sentiment d’échec, isolement, ce sont des manifestations provoquées par cette fragilité.

Les éventuels facteurs du problème

Le suicide est la manifestation du mal-être psychique. Un trouble psychique est associé à 90% des suicides. Voici les trois facteurs causant le risque de suicide.

Les facteurs primaires: ce sont des facteurs d’alerte majeurs. Les troubles psychiques (dépression et schizophrénie), la dépendance à l’alcool et la drogue sont les principaux facteurs. Il y a aussi les antécédents personnels ou familiaux de suicide et l’impulsivité.

Les facteurs secondaires: ce sont les facteurs environnementaux pouvant déclencher le passage à l’acte. Il y a la perte parentale précoce, l’isolement social et affectif. Du côté financier on recense l’endettement, le chômage ou les mauvaises conditions de travail. Chez les enfants et les personnes âgées, on peut citer la maladie somatique invalidante et la maltraitance
Les facteurs tertiaires: dans cette dernière catégorie, on trouve le sexe et l’âge. Le suicide aboutit trois fois plus chez les hommes que chez les femmes. La détermination de se suicider augmente avec l’âge. A partir de 65 ans chez les hommes.

Les solutions adaptées

Les idées suicidaires se traitent très bien. Si on éprouve de telles idées, la seule chose à faire c’est de consulter un psychiatre. Les différentes formes de psychothérapie peuvent procurer un soutien. Ce qui soulage les symptômes et diminuer par conséquent le risque suicidaire.

En cas de situation très aigues, une hospitalisation temporaire est nécessaire. C’est parfois sans consentement mais bénéfique à la protection de la personne. Au niveau des médicaments psychotropes, les antidépresseurs de deuxième génération contribue à la diminution du risque suicidaire. La baisse ‘un traitement à long terme pour les personnes atteintes de schizophrénie ou de dépression augmente le risque suicidaire.